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20h pour maîtriser les techniques de base et surtout se sentir à l'aise au téléphone !!
Le téléphone est un magnifique outil dont la maîtrise permet d’obtenir des résultats époustouflants dans le cadre d'une prospection en business to business.
Se sentir à l'aise avec ce moyen de prospection peut commencer par la réflexion suivante: Vous allez discuter avec une personne responsable dans une entreprise qui est intéressée par le sujet que vous allez aborder.
Quand deux experts d'un même sujet se rencontrent, ils en parlent avec passion !
Vous l'aurez compris, l'état d'esprit est une première clé.
Dans ce programme, que plusieurs centaines de personnes ont déjà suivi, vous apprendrez à cadrer votre prospection pour atteindre vos résultats.
Les objectifs :
Voici quelques exemples d’objectifs visés par les participants et leur direction commerciale:
Organisation sur 3 semaines :
1 réunion de démarrage avec les participants
4 sessions de 3 heures
1 réunion de clôture à l’issue du parcours
La méthode
Nous privilégions l’interactivité en alliant apports théoriques et exercices pratiques.
Il s’agit d’une combinaison d’écoutes avec feedback et d’exercices pratiques débouchant sur un contenu structuré intégré à votre culture.
En étant à l’écoute des besoins des participants dans une logique active, participative et inductive, le lien sera fait avec les situations de terrain et les « challenges » et les problématiques auxquels ils sont confrontés au quotidien.
4 moyens sont utilisés au cours des sessions:
1. Exercices avec la méthodologie ImproTraining®
pour se mettre en disposition d’ouverture,
pour prendre conscience de soi-même et de l’impact sur les autres
pour systématiser les bons apprentissages
2. Ecoutes en “live”
Pour identifier les forces et faiblesses des opérateurs
Pour donner du feedback basé sur du concret
Pour équilibrer les intérêts des parties prenantes
3. Echanges en groupe et réflexion sur
les contraintes
les mots à utiliser (et à éviter)
les modes de traitement de situations diverses
4. Exercices jeux de rôles
pour mettre en pratique
pour se permettre de rater en mode « sans risque »
pour trouver la bonne manière de faire
Le programme:
Toujours construit sur mesure !
Exemple de contenu de 4 sessions:
Le coach
Le coach est un expert qui est capable d'identifier rapidement ce qui conviendra à la ou les personnes formées.
À partir de leurs qualités, il construit les améliorations possibles et accompagne à la définition des plans d’actions et des objectifs personnels .
Intéressé (e) ?
Envoyez-nous un mail ... ou mieux: donnez-nous un coup de fil 😉
Les meilleurs vendeurs sont ceux qui parlent le moins mais qui parlent juste. Une bonne écoute est donc primordiale. Ainsi, en prospection comme en vente, il faut savoir poser les bonnes questions.
A la suite de multiples formations organisées avec des vendeurs issus de divers domaines, nous avons synthétisé ce qui caractérise une bonne question :
Plus concrètement, les bonnes questions que poseront un vendeur permettent de trouver les motivations du prospect :
Ces quelques éléments de techniques de vente et de prospection ne doivent certainement pas vous faire oublier l’essentiel : c’est en s’intéressant véritablement, avec sincérité à l’autre que la relation et la vente s’établissent.
En vente par téléphone, en vente face to face, en téléprospection, télémarketing,… soyez vrai !
Et découvrez encore plus de contenu concernant le questionnement sur le podcast phcom ci-dessous 🎧
Bienvenue dans cet nouvel épisode du podcast "Performance et Harmonie" de PHCom. Aujourd'hui, Stéphane et Nadia discutent de l'importance des questions dans le processus de vente. Ils soulignent l'importance de poser des questions ouvertes, fermées et alternatives. Les bonnes questions doivent être introduites correctement, se terminer par un point d'interrogation et être liées au sujet précédent. Les questions fermées sont utiles pour valider des points spécifiques, tandis que les questions alternatives peuvent guider le client vers une décision. Les questions Spin sont utilisées pour faire émerger des besoins, même lorsque le client ne semble pas en avoir. Les assurances-vie consistent à anticiper les objections futures en posant des questions pertinentes pendant l'entretien. Le duo insiste sur l'importance de l'écoute active, de la synchronisation et de l'empathie, tout en évitant de préparer des réponses à l'avance. L'écoute active sera abordée en détail dans un futur épisode. Restez à l'écoute pour en savoir plus sur cette compétence cruciale dans le domaine des ventes.
Pour contacter Stéphane ou Nadia n'hésitez pas à nous appeler au +32 2 702 64 74 ou nous envoyer un mail.
Stéphane: Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Performance et Harmonie réalisé par PHCom, dans le studio de "transforma bxl" à Bruxelles avec l'aide techniques de « The Podcast Factory Org » Nadia: Le Podcast Performance et Harmonie est destiné aux responsables marketing et ventes ainsi qu'aux dirigeants de sociétés assumant des fonctions commerciales. Stéphane: Nous vous partageons tous les mois les bonnes expériences en matière de recherche de nouveaux clients pour les entreprises actives en business to business. Nadia: Vous pouvez retrouver chaque épisode sur le site de PHCom.be P.H.C.O.M et également sur toutes les bonnes plateformes de podcast. Stéphane: Vous pouvez soutenir ce podcast et favoriser sa visibilité en le partageant avec le plus grand nombre via un like, un comment, un share Nadia: Le répondeur est toujours actif pour que vous puissiez nous laisser un message, nous y répondons avec grand plaisir. Stéphane: Vous pouvez également prendre un rendez-vous directement avec Nadia ou Stéphane en allant sur phcom.be Nadia: Bonjour Monsieur Performance ! Stéphane: Bonjour Madame Harmonie! Comment allez-vous aujourd'hui? Nadia: Très bonne question, c'est le sujet, n'est-ce pas? Les questions et l'écoute? Stéphane: Oui, tout à fait, l'écoute ça veut dire effectivement ne pas interrompre son interlocuteur d'abord, pardon pardon (Rires). Alors, quand on parle d'écoute, il y a un truc, c'est: qui questionne - dirige. C'est assez étonnant, mais quand on pose des questions, on sait où on va, on sait quelle direction on prend, et c'est nous qui posons les questions. Et c'est celui qui pose les questions qui a la main, et pourtant, quand on pose une question, on ne sait pas ce que l'autre va nous raconter. Et c'est là où c'est intéressant, c'est de savoir rebondir sur ce que l'autre dit. Donc aujourd'hui, on est un petit peu plus en mode spontané, n'est-ce pas? Nadia: C'est ça! En fait, si je comprends bien aussi, pour les bonnes questions, il faut donner, recevoir, c'est un échange. Stéphane: Exactement, et on reprend ce qu'on disait le mois passé à propos d'une bonne introduction, c'est rentrer en connexion avec l'autre. Donc il faut vraiment rentrer dans son monde, vraiment rentrer dans son univers, dans sa société, mais aussi dans la personne et sa personnalité qui est en face de vous. Nadia: Ok, en fait c'est toujours regarder vers l'autre. Stéphane: Avec une idée de se dire qu'est-ce que je peux lui apporter? Et pour ça, il va falloir que je me mette à son diapason. Alors, il y a les petites techniques que vous connaissez probablement: quel est SONCAS? Comment le SONCAS Sécurité, ce sont ses moteurs d'achat hein, c'est la sécurité, c'est l'argent, c'est la nouveauté, c'est la commodité, c'est la sécurité, c'est l'orgueil. Et puis à partir de là, une fois qu'on a compris ce qui le motive, ça va faire partie des questions. On va trouver, on va poser des questions pour savoir ce qui le motive, mais aussi on va poser des questions pour savoir comment il fonctionne, dans une logique avec un petit modèle qui s'appelle RAMI: Est-il plus dans la Relation, c'est-à-dire la capacité à, ou la volonté, ou l'intérêt à être en relation avec les autres? Ou est-ce qu'il sera plus dans le côté Action: "Je veux faire plein de choses", ou plutôt Méthodologique, ou plutôt Idée, voilà. Ça, ça fait partie des questions qu'on va poser, ou les raisons pour lesquelles on va poser ces questions, c'est pour essayer de comprendre l'autre personne aussi, et pas seulement comprendre l'autre entreprise. Nadia: Il faut donc faire quand même un peu preuve de psychologie, lire entre les lignes, entendre les mots et en déduire les motivations. Bon, des bonnes questions, ok, et l'écoute? Stéphane: Ben l'écoute, elle est là. C'est effectivement poser ces questions, c'est-à-dire techniquement, on a des compétences pour poser des questions, mais c'est surtout une question d'attitude, je m'intéresse à l'autre. Alors, pourquoi est-ce qu'on pose des questions, finalement? Un, pour s'informer, deux, pour approfondir, trois, pour orienter. Donc 1.: s'informer, alors, on s'informe sur quoi? Comme je le disais, on s'informe sur l'entreprise, on s'informe sur la personne pour comprendre quel est son profil. 2. on approfondit pour savoir finalement quels seront les arguments les plus porteurs, comprendre, faire comprendre, réfléchir, faire réfléchir. Et troisièmement, c'est le côté orientation, c'est essayer d'identifier où laisser plutôt la place à la réflexion de ton interlocuteur. Ça veut dire qu'en fait tu poses des questions et ça le fait réfléchir. À partir du moment où il réfléchit, et bien il va construire avec toi. Nadia: Ah ok. Et donc, dans la phase d'écoute active, les questions doivent permettre d'être des relais, donc passer d'un sujet à un autre. Par exemple, comme question: "Dans quel domaine exercez-vous?" Des miroirs, reposez la même question afin d'approfondir! “Que voulez-vous dire par cher?”, “Combien êtes-vous prêt à donner?” Stéphane: Oui, tout à fait. Ça peut aussi être des retours. Tu réponds à une question par la même question, tu dis et ça se vend bien? Ben ça se vend bien. Et vous, qu'en pensez-vous? Ça peut aussi être tout simplement du contrôle. "Au fait, pour vous, c'est bien cela"?, par exemple hein. Nadia: Oui, comme le ricochet, moi je le fais souvent "Ah bon?" Stéphane: Ça marche, effectivement. Donc on disait d'aller s'informer, donc montrer l'intérêt c'est "Au fait, quand pouvez-vous commencer à vendre votre produit ou votre service?" Nadia: Oui, et puis le recentrage. Parfois, certaines personnes parlent beaucoup, il faut revenir au sujet, "Donc vous me disiez que…". Stéphane: Ou alors simplement faire, faire écho, technique reformulation classique hein. C'est "Ah donc, dites, votre société elle fonctionne comme ça?” “Oui, oui elle fonctionne comme ça" et simplement, et continue. Nadia: Les reformulations, déductions, avancer dans la proposition, répéter. Et donc cela vous permettra de bien être certain de vous être compris, que votre communication ensemble, vous parler du même sujet, c'est très important. Stéphane: Exactement. Donc le but c'est évidemment pas que ce soit un interrogatoire. Questionner, ça va toujours être perçu positivement en fait, si on s'intéresse vraiment, vraiment, vraiment, franchement à l'autre. Nadia: Qu'en est-il des questions qui peuvent entraîner un refus? Stéphane: Quand on pose des questions, souvent on a tendance à être un petit peu "pas à l'aise", donc est ce qu'on fait? On pose une question, suivie d'une autre question, suivie d'une autre question, et en fait vous mettez trois questions les unes à la suite des autres, et ton interlocuteur il sait plus quoi. Et donc ça, ça crée de la confusion. Et en même temps en fait, ça risque de déforcer les compétences que nous sommes supposés avoir. Alors, il y a des questions aussi type "enquête étudiant" ça c'est la mort, ça c'est "Bonjour, je vous appelle pour..." et puis première question, deuxième question, troisième question et il n'y a aucun lien entre les unes et les autres. Bref, il n'y a pas de conversation, il n'y a pas de connexion et ça va dans un seul sens. Il y a aussi les questions qui amènent des doutes, et ça, c'est ce qu'il faut toujours éviter, donc il faut toujours être très clair, très net, très précis dans ces questions. Nadia: Donc, c'est bien de préparer ces questions, ces bonnes questions à l'avance dans un script. Stéphane: Alors oui, savoir quels sont les sujets qu'il faut aborder, anticiper, lister toutes ces questions pour les poser mécaniquement, laisser ça à un étudiant. Mais par contre intéressez-vous vraiment à la personne. Par contre, ce qui va contribuer à la vente, c'est ce sont les bonnes questions. C'est-à-dire, et on a fait de multiples workshops, un travail sur ce sujet, et il en ressort en fait six modes de questionnement clés qui contribuent à la vente. Alors premièrement, la question n'est pas gratuite, c'est-à-dire qu'elle justifiera un argument ultérieur. Deuxièmement, la question porte sur quelque chose qu'on n'est pas supposé savoir, et vice versa, c'est-à-dire qu'on soulève des sujets auxquels l'interlocuteur n'avait pas pensé et qui sont pourtant essentiels pour lui. Troisième élément d'une bonne question, ça entraîne un effet, un intérêt, une implication. Donc il y a, il y a vraiment, il en découle quelque chose pour ton interlocuteur. Et ça amène tout de suite la quatrième point, c'est la réflexion. Tu ouvres sa réflexion, tu lui donnes envie d'en savoir plus et finalement tu anticipes tous les pièges possibles. Ce sont les assurances-vie dont on parlera encore après. Nadia: Donc, si je comprends bien, il faut quand même respecter certaines règles et formes. Stéphane: Alors, oui, ça aussi, c'est très important. Une bonne question est introduite, c'est-à-dire qu'elle vient dans un contexte, comme on parlait tout à l'heure du questionnaire des étudiants, et bien une bonne question elle est introduite et elle est en lien avec ce qui vient de se dire. Une bonne question termine par un point d'interrogation, ça veut dire qu'on s'arrête, point. Et on laisse l'autre parler. Une seule question à la fois, s'il vous plaît! Alors, autre espace, c'est l'espace du temps que l'on donne à l'autre. Laisse lui la place, s'il a envie de parler, il parle, il parle, il parle, il parle et c'est tant mieux parce qu'on va en prendre plein, plein, plein d'informations. Alors une bonne question en matière de forme, elle n'est certainement pas contraignante, c'est-à-dire qu'elle ne va pas mettre l'autre dans une situation qui se sent bloquée. Elle indique l'orientation de la conversation, on en a parlé tout à l'heure: une bonne question oriente la conversation, et elle est clairement aussi en lien avec la suite des événements. Elle est dans une continuité, dans la logique, ça veut dire qu'en fait, ma question suivante sera en lien avec ma précédente, évidemment. Nadia: En résumé, ce sont quand même beaucoup des questions ouvertes. Stéphane: Alors oui et non. Donc il y a les trois fameux types de questions que vous connaissez tous: la question ouverte, la question fermée et puis les questions alternatives. Et peut-être revoyons ensemble c'est quoi une bonne question ouverte? Alors une petite technique, c'est le POCCQQQ. Tu connais le POCCQQQ Nadia: Oui, P.O.C.C.Q.Q.Q. Nadia: Pourquoi? Où? Comment? Combien? Qui? Quoi? Quand? Stéphane: Très utile, parce que quand on commence une question avec ces adverbes, on ouvre le dialogue, on le fait parler, on lui offre la possibilité de donner son opinion, on identifie ses motivations, on identifie ses freins, on identifie ses besoins, on le met en valeur, on lui demande son avis, on lui laisse le soin d'orienter l'entretien. Nadia: En fait, j'utilise ça tout le temps quand je m'intéresse à l'autre. Stéphane: Attention, parce que quand on pose des questions ouvertes, le risque c'est de ne pas trop savoir où on va. On n'aura pas une réponse "Oui - Non" mais par contre, ça permet vraiment, vraiment d'impliquer la personne pour qu'elle se dévoile. Ça lui donne du temps de se positionner et, par contre, il faut qu'elle soit bien précise, qu'elle soit bien introduite, sans quoi l'interlocuteur se sentira mal à l'aise et il pourrait même devenir agressif. Nadia: Tu as quelques exemples? Stéphane: “Que pensez-vous du marché économique actuel?” "Ben pfff". “Qu'attendez-vous de cette réunion?” Quand tu poses cette question au début d'une réunion, c'est une catastrophe, parce qu'elle n'est pas cadrée et tu n'as pas encore donné un sens. “Quelles sont vos priorités?” Si tu poses la question quelles sont vos priorités, c'est magnifique comme question, mais tu dois la poser au bon moment. Donc bien cadrer ces questions ouvertes. Alors à côté de ça, il y a les questions fermées et c'est spontané, c'est naturel, quand vous faites les exercices à poser des questions à propos d'un sujet bien précis, par exemple, le développement commercial, quelles sont les premières questions qui te viennent en tête? “Est-ce que vous pouvez vous développer?” Oui - Non, C'est une question fermée, c'est un peu faible. Par contre, il y a des utilités. Là, j'imagine que tu vois très bien quelles sont les utilités d'une question fermée. Nadia: Ben à amener le client à répondre oui ou non. Stéphane: Ça c'est la base! Nadia: Oui, permet de savoir et de vérifier. Fixer un accord sur des points précis. Par exemple: “êtes-vous disponible le…” Le client devient demandeur, permet de poser d'autres questions. Stéphane: Oui, effectivement, parce qu'en fait si tu valides, "On peut parler de ce sujet-là?". "Oui". "Bien, Comment fonctionnez-vous précisément?". Voilà, ça ce sont des... Ça vient assez automatiquement. Donc une question fermée peut être l'introduction à une question ouverte. Alors, pas trop de questions fermées au début, ou en fin d'entretien, c'est surtout des questions de contrôle hein? Ce sont des questions qui peuvent parfois paraître brutales, donnent peu d'infos, mais qui cadrent bien, mais qui canalisent directement la discussion. Les questions alternatives, c'est le troisième type de questions qui ont aussi leur utilité. Donc, c'est par exemple "Est-ce qu'on se voit jeudi ou vendredi?” “Est-ce que vous préférez le premier ou le second?” “Est-ce que vous préférez le blanc ou le rouge?". Alors ça oriente clairement le choix du répondant, ça guide le client vers la solution, ça donne l'impression de libre choix, ça facilite une décision, ça permet aussi de maîtriser l'entretien. Mais, faisons quand même attention à ne pas être trop systématique sur le sujet hein. Il y a encore quelques questions types qui sont intéressantes à retenir dans les techniques de questionnement, ce sont les questions qui vont faire émerger un besoin quand il n'y en a pas a priori. Alors, j'entends beaucoup de mes clients qui reviennent et dire "Lui il n'y a pas de besoin". "D'accord, est-ce que tu as posé ces questions-là?" Exemple: c'est ce qu'on appelle les questions Spin en fait hein? C'est: quelle est la situation, est-ce qu'on a bien compris la situation? Et ça, ça se fait à travers les questions ouvertes. Au fait, cette situation-là, quel est le problème que cela crée? Et donc à partir de là, quelle est l'implication de ton interlocuteur? Est-ce qu'il est concerné? Est-ce qu'il est impliqué? Qu'est-ce que ça lui fait comme effet? Et finalement, quel est le retour sur l'investissement qui pourrait faire s'il faisait quelque chose? Donc pourquoi est-ce qu'on dit spin? Parce qu'on analyse un: la situation, deux: le problème, trois: l'implication, quatre: le need of "pay off", ça vient de l'anglais évidemment, c'est le besoin de retour sur investissement. Nadia: À propos du spin, je disais, en fait c'est très intéressant de l'utiliser lorsqu'on a justement eu un refus, de vérifier si on a bien passé par ces filtres-là. Stéphane: Tout à fait! Revenir, revenir sur la situation du client et les problèmes que ça génère. Je ne connais personne qui est 100 % satisfait de ce qu'il a. Alors il y a une dernière type de questions: les assurances-vie, et ça je sais que toi tu es forte là-dedans. Nadia: Ben je les aime bien, et je les ai appris chez PHCom d'ailleurs! Certaines questions permettent d'éviter de rater une vente. Ces assurances-vie sont basées sur des objections que nous avons reçues par le passé, contre lesquelles plus rien n'est possible de faire. Si le prospect vous dit en fin d'entretien "Je n'ai plus de budget pour cette année”, “Je ne suis pas le seul à décider”, “Je dois m'en référer à Monsieur Untel.”, “Je n'ai pas le temps.”, “Le délai est trop court", vous ne pouvez vendre. Si vous posez des questions concernant ces sujets durant l'entretien, vous saurez exactement dans quel jeu vous jouez! Stéphane: Exactement. C'est assez fascinant, comme si vous posiez une question en début d'entretien. Exemple: "Mais au fait, si on vous apporte des nouveaux clients, vous pouvez les traiter là tout de suite?", "Oui, oui, tout à fait, je ne demande que ça". Et puis si vous n'avez pas posé la question en fin d'entretien, comme il y a quand même toujours un peu de peur à acheter quelque chose de nouveau, n'est-ce pas? Et bien qu'est ce qui se passe à la fin? C'est: "Mais vous savez, c'est pas possible aujourd'hui d'avoir de nouveaux clients". Ça, c'est la magnifique porte de sortie, et donc toutes ces portes de sortie que vous avez pu identifier auprès des gens que vous avez rencontrées, toutes les raisons qui ont été données par ces prospects qui n'ont pas voulu signer avec vous, et on signe rarement 100 % de ces prospects, donc il y a toujours de la matière à aller traiter, intégrez les bonnes ou mauvaises raisons, mais intégrez ces raisons dans votre questionnement et ça, c'est la clé de l'écoute. Ça c'est la clé du questionnement et c'est ce qui vous permettra d'effectivement pouvoir faire une argumentation dans de bonnes conditions. Donc toutes les bonnes raisons que le client vous a donné pour ne pas acheter, intégrez-les. Et c'est à partir du moment où on a compris ce que l'autre veut, que l'on sait comment on va lui présenter notre offre, qu'on peut enfin passer à l'étape suivante. Nadia: Et n'hésitez pas à reposer des questions, pour être certain que vous êtes devant la vraie objection. Stéphane: Alors, tu parlais de quelque chose de très, très, important. Dans le questionnement ce n'est pas tout d'avoir les techniques, c'est d'avoir l'attitude. Cette attitude c'est l'écoute active et ça vaudrait la peine de faire un podcast rien que là-dessus il me semble. Nadia: Je suis tout à ton écoute. Stéphane: Quels sont les points-clés qu'on découvrira dans l'écoute-active? Nadia: La synchronisation, l'empathie, être vraiment à l'écoute, ne pas préparer ses réponses. Ce sont tous des sujets vastes en fait, sur l'écoute active, qu'on connaît très peu et c'est pour ça qu'on se fera un grand plaisir de s'étendre là-dessus prochainement. Stéphane: Merci Madame Harmonie Nadia: Au plaisir!Séquençage du podcast:
Transcription du podcast:
La saison est venue pour inviter clients et prospects à découvrir vos nouveautés.
Vous organisez un lancement de produit, une présentation de vos services, une session découverte, un séminaire, une conférence, un congrès, un road show … et vous envisagez d’insérer dans votre campagne d’invitation une relance téléphonique.
Voici quelques conseils pour réussir vos invitations par téléphone:
Une technique pour pousser positivement la venue : poser 3 questions après une courte présentation :
Bien sûr l’attrait d’un cadeau ou d’un bon buffet fonctionne toujours mais…serez-vous sûr de rencontrer la bonne personne d’une société vraiment intéressante ???
Un dernier conseil : pensez d’emblée à « l’après » : rappeler les présents, les absents, ceux qui ont décliné. L’événement fait partie du communication-mix de l’entreprise, chaque contact est un point commercial gagné.
Trois clés pour gérer au mieux sa prospection en B2B
Organiser sa prospection commence bien évidemment par se fixer des objectifs et si on se fixe des objectifs c'est qu'on doit pouvoir être capable d'analyser les résultats obtenus par rapport à ses objectifs .
Les résultats c'est la vente!
Avant d'arriver à la vente, il faut pouvoir remettre des offres.
Et idéalement il faut pouvoir remettre une offre dans de bonnes conditions.
Pour remettre des offres il faut rencontrer les bonnes personnes dans les bonnes entreprises au bon moment
Pour les rencontrer il faut pouvoir les intéresser.
Et finalement: quels sont les profils d'entreprise qui sont les plus intéressantes et d'où viennent-elles?
Segmenter
Gérer sa prospection c'est d'abord et bien gérer son fichier en le segmentant
La manière d'alimenter son fichier va influencer les résultats.
Les segments sont à définir selon les sources des fichiers et/ou les profils d’activité ou autre paramètre.
Ces segments vont permettre de construire une approche adaptée: un script différent, une méthode d'approche différente, des mails différents, des commerciaux différents…
Classer
Organiser un classement ABCD des sociétés: des plus intéressantes au moins intéressantes,
Définissez les critères caractérisant une société A, celle pour laquelle vous allez donner le plus d'efforts commerciaux possible.
Définissez ensuite celles qui seront classés en B ou en C Pour lesquelles vous ne fournirai pas trop d'efforts chance d'y vendre sont bien inférieures.
Finalement, classez en niveau D les sociétés pas du tout intéressantes. A celles-là vous ne vendrez jamais! Donc ça ne sert à rien d’y investir du temps. Il s’agit généralement de sociétés qui ne décident pas de l'achat de tel ou tel service, de sociétés qui dépendent d'une maison mère située à l'étranger, de sociétés en difficulté financière, …
Les critères qui déterminent ce classement sont à distinguer à deux niveaux:
1. à priori
2. à posteriori
A priori -selon mon feeling ou ce que je connais - cette société devrait être classée ABC ou D.
A posteriori , c’est à dire, après un appel, après une discussion avec une personne faisant partie du processus décisionnel , vous pourrez certifier qu'elle est classée ABC ou D
Projeter
Projeter l’étape suivante
Vendre un produit ou un service à une société c'est gérer un projet.
Il s'agit de définir les étapes de ce projet. Ce qui permet d’en voir l'avancement.
A chaque étape, validez qu’elle est terminée et passez à la suivante.
Planifiez-la dans votre agenda.
Projetez cette prochaine étape de commun accord avec votre interlocuteur.
Chaque mini-accord contribue à la réussite du grand accord final : la signature!
Au niveau de la prospection, chaque action faite doit générer un résultat. (Sinon c'est qu'elle n'est pas faite)
J'ai appelé la société est-ce que j'ai parlé à quelqu'un faisant partie du processus décisionnel?
Si c’est la bonne personne, qu'avons-nous convenu: un rappel, un envoi de mail, l’organisation d'une rencontre?
Qui doit faire quoi et quand?
C’est la clé de la vente: obtenir un accord sur la prochaine action.
Et au plus vous aurez d'accords, au pus vous vous rapprocherez de la vente.
Vous désirez réflechir à comment mettre cela en oeuvre dans votre organisation? Parlons-en dans un rendez-vous en cliquant ici
Chez PHCom, nous savons à quel point une introduction impactante est cruciale dans vos relations B2B. C'est pourquoi nous souhaitons partager avec vous un contenu précieux qui vous aidera à maîtriser cet art.
Dans notre dernier podcast, nous abordons en profondeur l'art de l'introduction en vente B2B. Que vous dirigiez une entreprise ou travailliez dans les secteurs commercial, marketing ou développement, ce contenu a été conçu pour améliorer vos compétences en communication et optimiser vos résultats.
Dans ce podcast, nous explorons des sujets essentiels, tels que :
❄️ Le Pouvoir des Brise-glaces: Découvrez comment établir une connexion sincère avec vos prospects dès le début.
🤔 Éveiller la Curiosité: Apprenez à maintenir l'intérêt en dévoilant progressivement votre message.
🗣 Techniques de Narration: Explorez l'art de raconter des histoires pour établir un lien émotionnel fort.
🪢 Réalités Partagées: Comprenez l'importance de trouver des points communs pour créer rapidement un lien.
En appliquant ces principes, vous améliorerez votre capacité à engager des prospects, qualifier des clients potentiels et décrocher des rendez-vous précieux.
Nous ne nous arrêtons pas à la théorie. Nous fournissons des exemples pratiques et des stratégies actionnables que vous pouvez mettre en œuvre dès aujourd'hui.
Vous souhaitez explorer ce sujet plus en détail ? Notre équipe d'experts est à votre disposition pour discuter de la manière dont ces concepts peuvent être adaptés à votre contexte commercial spécifique. Nous croyons en une approche personnalisée pour des ventes B2B fructueuses. Contactez-nous pour discuter de la façon dont PHCom peut vous aider à atteindre vos objectifs commerciaux.
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Nous comprenons que votre temps est précieux et nous nous engageons à apporter de la valeur à chaque interaction. Nous avons hâte de vous aider à optimiser votre processus de vente et à obtenir des résultats exceptionnels.
Stéphane: Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Performance et Harmonie réalisé par PHCom dans le studio de "transforma bxl" à Bruxelles avec l'aide technique de « The Podcast Factory Org » Nadia: Le Podcast Performance et Harmonie est destiné aux responsables marketing et ventes ainsi qu'aux dirigeants de sociétés assumant des fonctions commerciales. Stéphane: Nous vous partageons tous les mois les bonnes expériences en matière de recherche de nouveaux clients pour les entreprises actives en business to business. Nadia: Vous pouvez retrouver chaque épisode sur le site de PHCom.be P.H.C.O.M, et également sur toutes les bonnes plateformes de podcast. Stéphane: Vous pouvez soutenir ce podcast et favoriser sa visibilité en le partageant avec le plus grand nombre via un like, un comment, un share Nadia: Le répondeur est toujours actif pour que vous puissiez nous laisser un message, nous y répondons avec grand plaisir. Stéphane: Vous pouvez également prendre un rendez-vous directement avec Nadia ou Stéphane en allant sur phcom.be Nadia: A bientôt. Bonjour Monsieur Performance. Comment allez-vous aujourd'hui? Stéphane: Très bien, merci, Madame Harmonie. Chose promise, chose due, on va parler aujourd'hui de comment réaliser une bonne introduction. Alors, Madame Harmonie, à vous de parler, puisqu'il s'agit avant tout de pouvoir établir une bonne connexion avec son interlocuteur. Nadia: Oui, effectivement. Et tout est une question de synchronisation pour se connecter le plus justement possible à la personne. Comme nous l'avons dit dans un épisode précédent, préparez-vous mentalement, soyez positif et soyez optimiste sur la relation que vous allez établir. Stéphane: Et surtout, sachez ce que vous allez dire! Nadia: Donc on sait quel est le profil de la personne que l'on veut avoir au bout du fil et on sait la raison de notre appel. Stéphane: Effectivement, nous gardons bien en tête le but. Il s'agit de qualifier: l'entreprise est-elle intéressante, et d'intéresser suffisamment la personne pour fixer un rendez-vous au cours duquel nous aurons tout le loisir de lui vendre le super produit ou service qui est le vôtre. Nadia: C'est bien ça, il faut pouvoir dérouler son Intro. Mais pour pouvoir dérouler son Intro, il faut d'abord être en contact avec la personne. Et pour ça, il y a ce qu'on appelle les icebreakers ou le temps de briser la glace. Stéphane: Si vous démarrez comme un bulldozer avec votre introduction sans avoir pris le temps de discuter de personne à personne, peut-être n'arriverez-vous même pas à la fin de votre introduction qu'il vous dira "Oui ça va merci, c'est pas nécessaire, j'ai compris" Et s'il ne le fait pas, ou s'il ne le dit pas, de toute façon il le pensera et il aura déjà fait son opinion dans sa tête. Nadia: C'est bien ça, c'est le syndrome du "J'ai compris", à éviter à tout prix. Donc ne dévoilez pas tout, mais créez la curiosité. L'objectif premier de l'intro est de faire parler le prospect. Pour cela, il faut créer une ambiance propice à la discussion et surtout, il faut éveiller au plus vite son intérêt. Donc on commence par le Icebreaker. Stéphane: Tu as des trucs à ce sujet? Nadia: Le brise-glace, c'est d'abord osez être vous-même, laisser de la place à l'autre, créer et détendre l'atmosphère, s'adapter à l'autre, bref, parler d'autre chose. Ne pensez pas à ce moment-là à vendre, mais connectez-vous. Stéphane: On peut parler de la météo? Nadia: Ou alors peut-être une discussion un peu plus riche. On peut parler de la joie de pouvoir enfin l'avoir au bout du fil, ou enfin de pouvoir le rencontrer après de nombreuses tentatives. Stéphane: Ah d'accord, et ça crée effectivement plus de connexion, comme par exemple, aussi: "Je vous appelle de la part de..." Nadia: Oui c'est ça. C'est mieux que "J'ai trouvé votre nom sur LinkedIn", mais on peut aussi annoncer avoir été en contact avec Monsieur untel, qui ne travaille plus là, apparemment c'est vous qui reprenez le poste? Stéphane: Ou alors parfois le téléphone qui ne fonctionne pas bien, c'est une aubaine. Ou la visio qui plante au début, c'est bête hein, mais ces petits problèmes techniques c'est ce qui rend la chose tellement vraie et naturelle que ça détend l'atmosphère. Nadia: Oui, et puis osez comme les Américains "How are you today? Bonjour. Comment allez-vous aujourd'hui?" Stéphane: On peut aussi parler de la localisation de son entreprise style: "Ah vous êtes à Villers-le-Bouillet. J'ai une maison de campagne là-bas!". Nadia: Oui, c'est ça, tout cela ce sont de très bonnes idées. Si vous avez des points communs, allez-y. Et ces points-là, si vous ne les connaissez pas, vous pouvez toujours les retrouver sur LinkedIn: par exemple, le lieu de ses études, loisirs, les groupes d'intérêt. La clé? C'est votre spontanéité. Laissez venir ce petit mot de contact de personne à personne avant de dérouler votre script. Soyez vous-même, laissez votre interlocuteur aussi être lui-même. Stéphane: Et petit rappel des épisodes précédents privilégiez le dynamisme, le sourire. Nadia: Un petit truc n'oubliez pas que vous pouvez toujours poser un miroir devant vous lorsque vous prospectez. Stéphane: Une présentation courte, concise, dynamique, avec des bons mots. "C.C.C.", clair, court, concis et choisir les mots-clés. Bon, on n'a toujours pas parlé de l'introduction en elle-même. Nadia: Eh bien, tout cela fait partie de l'introduction, et si on veut être plus pratico-pratique, voici quatre idées qui peuvent servir de base pour une bonne introduction: L'elevator pitch, c'est-à-dire créer une proposition de valeur en une minute et quatre étapes pour créer le contact. Stéphane: C'est ce qui se passe en fait si on monte quelques étages en ascenseur avec la personne avec laquelle vous devriez absolument pouvoir parler plus en profondeur. Mais le but n'est pas de tout lui raconter, mais de pouvoir fixer un moment de rendez-vous, un moment de rencontre par la suite. Nadia: C'est ça, on réfléchit donc à "que doit-il retenir?", ce que tu apportes comme résultat ou impact?, ce qui est unique, c'est quoi votre différence par rapport aux concurrents?, tes objectifs concrets, définis, réalistes: qu'attends-tu de l'autre? V Stéphane: Tu peux donner un exemple? Nadia: Bonjour, Vous êtes bien Monsieur Performance? Stéphane: Oui, oui, Bonjour! Nadia: Je suis ravi de pouvoir vous rencontrer. Je fais du soutien au développement commercial des entreprises actives en B2B, et donc là où les gens cherchent des clients, nous les trouvons pour eux! On fait ça de manière complètement différente de ce qui existe sur le marché. Ayant vingt-sept ans d'existence, on a généré des milliers d'opportunités pour nos clients. J'apprécierai de pouvoir vous en parler plus en détail. Vous êtes disponible lundi à 20h? Le Storytelling! Stéphane: Ah ça, ça me touche, j'aime bien les histoires, ça crée un véritable pouvoir de séduction, de conviction, ça touche les émotions, le cœur, ça générera de l'écoute de la part de l'autre et ça, sans jugement! Nadia: Ça construit un caractère sympathique et attachant. La technique consiste à construire un contexte émotionnel touchant les cinq sens par du lien personnel, des anecdotes dans la foulée d'un icebreaker, de l'humour. Mais attention à manier avec des pincettes. Stéphane: Ben j'aime bien aussi le "Il était une fois", mais enfin, dans un milieu professionnel, autant annoncer à l'avance "Je vais vous raconter une histoire. Il était une fois,..." Ça passera un peu moins bien peut-être. Nadia: Oui, il faut jouer l'authenticité aussi. Stéphane: Oui, par exemple, des souvenirs, ça me rappelle quand le nouveau logo de Fortis est sorti, ou ça me rappelle le 11 septembre 2001. Nadia: Oui, et on peut donner des exemples avec des images, des odeurs, des sons, du toucher, du goût. Exemple: on fonctionne comme une vieille voiture qui fait plein de bruit et qui pollue alors qu'aujourd'hui on roule en électrique. Stéphane: La clé, c'est peut-être aussi de donner du sens, sur base de valeurs. Nadia: Oui, il faut aussi être original. Exemple: je vois le monde en 2050 comme ceci ou comme cela, tout en ramenant à ce qui nous touche aujourd'hui. Et aujourd'hui, cela se passe comment? Stéphane: Donc en résumé, au téléphone, on peut faire simple: "Bonjour, je suis Monsieur Performance de la société PHCom, vous êtes bien Monsieur... Ah et je vous appelle de la part de... J'ai compris que vous êtes aussi en charge de... Je serai bref, j'ai pensé à vous parce que..." Trois petits points. Nadia: Un petit truc du storytelling est de décrire les quatre étapes. Monsieur Performance, vas-y! Stéphane: Alors un: la reconnaissance d'un problème, la situation initiale où il y a eu un événement, ça c'est le numéro deux. Un déclencheur qui vous a amené à l'aventure, ça c'est le numéro trois, le chemin que vous avez parcouru pour le dénouement, quatre: c'est la préconisation d'une solution qui vous amène à bon port. Exemple, si on va dans la suite: Ok je pense à un client: J'ai été invité à de nombreux événements, j'avais du mal à rencontrer des personnes que je désirais. Et puis il y a eu un événement, sur lequel on pouvait fixer des rendez-vous avec des participants, à l'avance. Mais c'était très compliqué, et je crois que moins de la moitié des personnes avaient compris comment ça fonctionnait. À ce moment-là j'avais une relation qui faisait du développement informatique, et on a travaillé ensemble, sur un projet, pendant deux ans, avant de pouvoir arriver à fournir aujourd'hui une solution qui permet aux gens qui arrivent à des événements de tout de suite pouvoir rencontrer les personnes qui les intéressent et pouvoir faire des affaires avec elles. Nadia: Et voilà, en même pas une minute, tu as fait une Intro qui me captive! Le constat partagé fonctionne aussi très bien, il s'agit de se baser sur les enjeux dans ce domaine. Exemple: nous sommes de la société X, le constat est qu'il y a plus de 50 % des gens qui participent à des événements qui ne sont pas satisfaits du nombre de rencontres et de la qualité de ces rencontres qu'ils ont pu faire. Nous avons trouvé une solution, vous voulez savoir comment? L'idéal serait de se rencontrer? Cela étant, ça dépend de votre situation. Stéphane: Et c'est là que tu enchaînes avec la première question. Nadia: C'est ça? Oui car c'est là, le but de l'introduction. C'est de pouvoir ouvrir la discussion, c'est de pouvoir créer une ambiance propice dans laquelle la personne va pouvoir répondre. Et donc ta première question va être le déclencheur. Stéphane: Pour autant que tu aies annoncé dès le départ l'objet de ton appel, c'est-à-dire: "Je voudrais bien vous rencontrer", par exemple. Nadia: Exact. Et n'oublie pas une minute, c'est plus ou moins 150 mots, donc à toi de savoir lequel sera répété. Prépare-toi, prépare ton script, mais surtout ne le lis pas, reste spontané. Stéphane: Terminons sur la première question, tu as des trucs? Nadia: Oui, c'est simple, il faut tenir compte des quatre points suivants: elle doit être motivante, elle doit donner envie, elle est positive, elle invite à un oui, elle est déclarative, elle donne quelque chose, elle est orientative, j'oriente immédiatement le discours. Stéphane: Un exemple? Nadia: La meilleure est sans doute celle qu'on utilise pour PHCom: "Si on vous apporte de nouveaux clients, vous pouvez les traiter?" Stéphane: Oui, elle est donc effectivement motivante, elle est positive, elle est déclarative puisque tu dis ce que tu peux apporter et elle est clairement orientative, ça ouvre la discussion. Bon alors au final, que retenir de tout ça pour faire une bonne introduction? Nadia: Et bien je sais pourquoi je suis là, je sais comment faire, je suis sûr de ma proposition. Stéphane: Donc une bonne attitude, du bon contenu et un peu de technique. Nadia: Et cela permettra de poser toutes les questions que l'on veut avant de pouvoir proposer de travailler ensemble. Stéphane: C'est donc ça ce que nous verrons ensemble dans un prochain podcast. Poser des questions. Merci, Madame Harmonie! Nadia: Avec plaisir, à bientôt.Séquençage du podcast:
Transcription du podcast: